C'est quand quelque chose dont les regles sont établies et qu'on en vient à les interroger de nouveau suite à un disfonctionnement que la chose en question aurait pu encourir.
Après avoir définit ce terme. On peut dire que malgré toute la bonne volonté du monde, parfois la remise en question s'avère inutile lorsque l'on s'aperçoit que c'est autre chose qui provoque le malaise.
Conclusion : c'est bien de se remettre en question quand ce n'est pas hors sujet, afin d'établir de nouvelles règles. Quand ce n'est pas le cas : A QUOI BON FOUTRE LE BORDEL DANS SA TETE et tout remettre en question, c'est-à-dire foutre toutes les bases d'une stabilité par terre sinon à se rendre fou ?
Je vous le demande !
Nos amis les animaux (animus, l'âme quand même...) ne se posent pas autant de questions, et ils ont bien raison, ils vivent ainsi dans la simplicité d'un bonheur qui se restreint à nos simples besoins.
Je dis ça mais le lamentin, par exemple, ne se lamente-t-il pas ce qui lui a donné son nom ?
(Fascinante créature... Je les trouve merveilleuses)
A suivre notre nouvelle question : l'amour est-il un besoin ?
Qui est indubitablement suivi de : Qu'est-ce que l'amour ?
On médite , on médite, mais la méditation est-elle une remise en question ?
Je n'ai qu'une chose à dire : MERCI LES MECS !