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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 21:00


En attendant la publication de mes nouvelles gibouilles, qui sont nombreuses je vous rassure, mais dont les photos ,pour des raisons techniques, se font attendre je vais vous permettre de D.ambuller dans le dédale de la Gibouille.




Tout d'abord il faut marcher jusqu'à la gare. Prendre le temps de bien tout regarder.

or


Je ne sais pas moi, il pourrait peut-être si cacher un chat, un sourire ou une caresse ?


or


Du haut de son arbre, il nous mire et ça le faire rire de nous voir courir...

Courir vers la grande croix, vers la fin. Mais si celle-ci était en fait un début, alors vous ne regretteriez pas d'être venu.


or


Il ne faut pas s'affoler, il faut juste rentrer, reprendre le métro et ne pas s'effrayer de ses couloirs, de ses rails, de ses couleurs et entrailles.


or


Rebrousser chemin ne signifie pas necessairement reculer.


or


Découvrir ce qu'on avait manquer lors de l'aller.


Rien n'est perdu. Ça continue.



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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 16:40

-Vous l'attendiez avec impatience...
-NON
-Mais si, mais si, vous l'attendiez avec impatience
- Eh non, je viens de te dire que non
-Bon tant pis vous l'attendiez pas avec impatience... MAIS AVEC ORCHIDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !



or


Une danseuse extra-terrestre, ou supra-terrestre.

 


or

J'adore celle-ci... avec son gosier de goéland, nan de pélican pardon, ho c'est presque pareil hein...pas du tout d'accord d'accord...

 

 


or


Celle-ci c'est une demoiselle amoureuse qui a la varicelle donc elle peut même pas sortir faire des folies de son pistil !

 

 


or


Ben lui c'est le docteur qui veut la soigner, mais comme il voit pas très clair a cause de son strabisme et bien il a quelques difficultés notables.

 

 


or

Heureusement il y a la mamie de la demoiselle qui connaît un remède très efficace : Dormir après une bonne histoire.

 

 


or

Malgré cela, ça ne va pas en s'améliorant et l'amoureux il n'est pas content alors il crie très fort avec sa grande bouche pleine de beaucoup trop de dents. Il devient tout rouge.

 



or


Une fois calmer, il retrouve une couleur plus sereine et supplie sa bien aimée de la pardonner...

 



or

Mais bon hein, faut pas non plus que délirer. Elle refuse et va danser dans une belle robe de soirée avec des contes et des fées.

 


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6 mars 2008 4 06 /03 /mars /2008 21:52


Toutes ces orchidées m'ont donné des envies : 


Je suis envie de me balader nue sous une lune d'été en plein hiver. 

En vie d'être seule dans un miroir contemplé et aimer le reflet glacé.

En vie flottante dans une purée de nuages.

En vie je crois que je ne veux pas.

Je suis vous, jamais moi.

Lambda. 


Oui, c'est sûr que comme ça c'est pas très clair, et il n'y a pas vraiment de rapport avec les orchidées si ce n'est l'envie. J'avais juste envie de publier ces mots devant ces fleurs. Et puis j'ai menti en introduction. Oui voilà mon Mea Culpa fait je vais te faire une confession (ho carrément). Soirée confidence : J'ADORE LES ORCHYDEES. Voilà qui est fait. Maintenant je vais te dire pourquoi... en fait non... Tu vas comprendre (ou pas...)

ork

Voici Mademoiselle Demoiselle.

 


 ork

Ci-dessus Monsieur Green Peace

 

 


ork


Là, c'est un autre monde qui se dessine et que tu vas découvrir... bientôt... très bientôt

 

 




ork

Orchidée à ce charme inégalable de te transporter à chaque fois dans un univers inconnu. 

 

 


ork

Une libellule, y aurais-je seulement songé si une mouche ne me l'avait pas glissé à l'oreille ?

 

 


ork

Un oisillon, ébouriffé, tout droit sorti de l'oeuf. Sa couleur m'inspire celle du bonheur.

 

 

ork

Des étoiles (des vrais étoiles) qui défilent sur un podium verdoyant de lumière.

 

 


ork

Une chorale ( Merci Alice et ses Jonquilles )

 

 

ork

Un ange qui prend son envol dans une belle robe blanche... Il est un peu effrayant même.

 

 


 

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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 19:16

Tu avais déjà vu ça toi ?
Une jacinthe jaune !
Allez parlons un peu de moi pour changer :
Les jacinthes, j'adore ça. 
Elles sentent terriblement bon...
C'est un bonheur nasal !
Et si maintenant... elles sont jaunes !!!
Mais c'est le paradis , c'est le soleil !
Tu te rends même pas compte toi.

jac


Regarde-là faire sa belle,  elle a de quoi !! 
J'adore les fleurs ! Voilà 
 


jac

 

 Et non, aucune réflexion philosophique derrière tout ça, (j'aime les fleurs et puis quoi ? Bisounours Crécré si tu veux ! Moi, j'aime les fleurs !!). Prochain défi, à bientôt... ce n'est qu'un préambule... à mes petites bulles !!


 

 

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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 17:47


tiovivo



Et si c'était à nous de rendre le monde plus beau ?

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17 décembre 2007 1 17 /12 /décembre /2007 20:58


Je préviens le mal de tête que pourrait susciter cet article en t'offrant au préalable un petit aspirine. 

gren

 


Voici maintenant quelques citations extraites (encore) de l'Empire des Anges de Werber. Je les juxtapose de façon totalement aléatoire et n'émettrais aucun commentaire... 
Reflexion faite...
Pas tout à fait.
En cours...
De réflexion...
Evolution ou reflet 
A toi de voir...

« Les hommes émettent des souhaits dérisoires et médiocres. J’ai parfois l’impression qu’ils ont peur d’être heureux. Tout leur problème se résume à une unique phrase : « Ils ne veulent pas construire leur bonheur, ils veulent seulement réduire leur malheur. »

« Les hommes sont si faciles à manipuler. Il me semble avoir saisi comment ils fonctionnent. Il suffit qu’une femme ne dépende pas d’eux pour qu’ils aient envie de dépendre d’elle. »
 


« - Ah, ces humains ! dit Raoul. Ce qui me navre le plus c’est leur prétention à faire des couples. Les hommes et les femmes sont pressés de se mettre en couple. Les hommes et les femmes sont pressés de se mettre en couple alors qu’ils ne savent même pas qui ils sont.

C’est souvent la peur de la solitude qui les y pousse. Les jeunes qui se marient à vingt ans sont comme des chantiers au premier étage d’un immeuble qui décideraient de s’élever ensemble, convaincus d’être toujours au diapason et que, lorsqu’ils parviendront au toit, des ponts de seront constamment établit entre eux. Or les chances de réussite sont rarissimes. Voila pourquoi les divorces se multiplient. A chaque passage, a chaque évolution de conscience, chacun estime avoir besoin d’un partenaire différent. En fait pour bâtir un couple il faut être quatre : un homme plus sa part de féminité, une femme plus sa part de virilité. Deux êtres complets ne recherche plus chez l’autre ce qui leur manque. Ils peuvent s’associer sans fantasmer sur une femme idéale ou un homme idéal puisqu’ils les ont déjà trouvés en eux, déclame mon compagnon de célestitude. »

« […] C’est quand on a tout faux qu’on peut trouver la bonne voie »

« Il a accumulé trop de haine, l’amour ne peut plus le sauver »

« Aime tes ennemis, ne serait-ce que pour leur porter sur les nerfs » 

« Je ne sais pas ce qui est bon et ce qui est mauvais (petit conte zen) : Un fermier reçoit en cadeau pour son fils un cheval blanc. Son voisin vient vers lui et lui dit : « vous avez beaucoup de chance. Ce n’est pas à moi que quelqu’un offrirait un aussi beau cheval blanc ! » Le fermier répond : « Je ne sais pas si c’est une bonne ou mauvaise chose… »

Plus tard, le fils du fermier monte le cheval et celui-ci rue et éjecte son cavalier. Le fils du fermier se brise la jambe.

« Oh ! Quelle horreur ! dit le voisin. Vous aviez raison de dire que cela pouvait être une mauvaise chose. Assurément celui qui vous a offert le cheval l’a fait exprès pour vous nuire. Maintenant votre fils est estropié à vie ! »

Le fermier ne semble pas gêné outre mesure. « Je ne sais pas si c’est une bonne ou mauvaise chose », lance-t-il.

Là-dessus la guerre éclate et tous les jeunes sont mobilisés, sauf le fils du fermier avec sa jambe brisée. Le voisin revient alors et dit : « Votre fils sera le seul du village à ne pas partir à la guerre, assurément il a beaucoup de chance. » Le fermier alors répond : « je ne sais pas si c’est une bonne ou mauvaise chose. »

« LES CREQ : «  l’homme est en permanence conditionné par autrui. Tant qu’il se croit heureux, il ne remet pas en cause ce conditionnement. Enfant, il trouve normal qu’on le contraigne a avaler des aliments qu’il déteste, c’est sa famille. Adulte, il trouve normal que son supérieur l’humilie, c’est son travail. Marié, il trouve normal que sa femme lui fasse des reproches, c’est son épouse. Citoyen, il trouve normal que son gouvernement réduise sans cesse son pouvoir d’achat, c’est le gouvernement pour lequel il a voté.

Non seulement il ne s’aperçoit pas qu’on l’étouffe, mais en plus il revendique sa famille, son travail, son système politique et la plupart de ses prisons comme autant de formes d’ « expressions de sa personnalité » 

Beaucoup d’humains sont prêts à se battre bec et ongles pour qu’on ne leur ôte pas leurs chaînes. Pour nous les anges, il est donc parfois nécessaire de provoquer ce qu’en bars il nomment des « malheurs » et que nous en haut qualifions de CREQ, pour « crise de remise en question ». Les CREQ peuvent prendre plusieurs formes : accident, maladie, rupture familiale, déboires professionnels.

Ces crises terrifient les mortels mais, au moins,les déconditionnent provisoirement. Très vite l’humain part a la recherche d’une autre prison. Le divorcé est pressé de se remarier. Le licencié accepte un travail plus pénible encore. Cependant entre le moment où survient la CREQ et celui où le mortel retrouve une autre prison, il aura joui de quelques instants de lucidité. Il aura entrevu, alors ce qu’est la vraie liberté. Même si en général, cela l’a plutôt effrayé. »

« ARMES : l’amour pour épée, l’humour pour bouclier »

« lâcher-prise : le lâcher-prise émane d’une des trois voies de sagesse préconisées par Dan Millman : humour, paradoxe, changement. Le concept double la notion de paradoxe. C’est lorsqu’on ne désire plus quelque chose que cette chose peut arriver. Le lâcher-prise, c’est aussi le repos de l’ange. N’étant plus sollicité, il peut enfin travailler tranquillement.

On ne louera jamais suffisamment l’art du lâcher-prise.

Il n’existe rien d’indispensable. On n’a jamais vu un homme devenir heureux parce qu’il obtenait soudain le travail, l’argent, l’amour qu’il convoitait. Les véritables grands bonheurs sont des évènements inattendus qui transcendent largement le champ des souhaits des intéressés. Nous nous conduisons comme des Pères Noël permanents. Ceux qui demandent un train électrique reçoivent un train électrique. Mais ceux qui ne demandent rien peuvent recevoir beaucoup mieux. Cessez d’être en demande et alors seulement on pourra vous satisfaire. » 

« de l’importance de porter le deuil : […] Il importe de marquer les étapes.

Chacun peut inventer ses propres rituels de deuil. Cela peut aller du plus simple : e raser la moustache, changer de coiffure, de style d’habillement, au plus fou : faire une grande fête, s’enivrer à en perdre la tête, sauter en parachute…

Lorsque le deuil est mal accompli, la gêne persiste comme une racine de mauvaise herbe mal arrachée… »

 

« croire : « croire ou ne pas croire, cela n’a aucune importance. Ce qui est intéressant, c’est de se poser de plus en plus de questions. » »

 

« la réalité : «  la réalité, c’est ce qui continue d’exister lorsqu’on cesse d’y croire » énonçait l’écrivain Philip K. Dick. Il doit donc exister quelque part une réalité objective qui échappe aux savoirs et aux croyances des hommes. C’est cette réalité là que je veux comprendre et approcher. »

 

p190 «  Trois réactions : Dans son ouvrage Eloge de la fuite, le biologiste Henri Laborit rapporte que confronté à une épreuve, l’homme ne dispose que de trois choix : 1) combattre ; 2) Ne rien faire 3) fuir.

[…]

La fuite artistique, enfin : elle consiste a transformer sa rage, sa colère, sa douleur en œuvres d’art , films , musiques, romans, sculptures, tableaux…

Tout ce qu’on ne s’autorise pas a clamer, on le fait dire à son héros imaginaire. Cela peut ensuite produire un effet de catharsis. Ceux qui verront les héros venger leurs propres affronts bénéficieront de l’effet. »

 

 

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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 21:51

Non pas un snif de "snif snif" , mais un grand snif , de sniffer l'air comme une drogue, comme quelque chose de cher, de rare et de précieux. Non non ce n'est pas une apologie de la drogue, loin de là... droguons nous à l'essentiel !


gren

 

Respirer et profiter. 
Apprécier...
Je ne vois pas quoi demander...
En fait si...je vois très bien, 
une pause, 
pourquoi faire sinon poser (des questions ) ?

Très bien allons-y, allons-on...
 

""J'ai tué quatorze personnes . Quand je tuais, j'étais surpris de voir les gens stupéfaits, voire révoltés, lorsque je leur annonçais que j'allais mettre un terme à leur vie. On aurait dit qu'ils se figuraient que leur vie leur appartenait, comme leur voiture, leur chien, leur maison." 
Source: individu interrogé sans la rue au hasard d'un micro trottoir."  (ça c'est la meilleure !! ) 
(L'Empire des Anges, B.Werber)

Ainsi j'en viens à poser cette question :
Notre vie nous appartient-elle ? 
Le hasard existe-t-il, ou si tu préfères, le destin existe-t-il ? 

Le livre cité propose un hypothèse, qui n'en est pas une d'après L'Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu :

"Recette d'une âme : Au départ l'âme d'un être humain est déterminée par trois facteurs : L'hérédité, le karma, le libre arbitre. Leurs proportions de départ sont réparties généralement ainsi :
25% hérédité
25% karma
50% libre arbitre.
L'hérédité : cela signifie qu'une âme, en début de parcours, est influencée pour une quart par la qualité des gènes, la qualité de l'éducation, le lieu de vie, la qualité du milieu de vie déterminé par ses parents. 
Le karma : cela signifie qu'une âme, en début de parcours, est influencée pour un quart par des éléments qui subsistent de sa vie précédente, désirs inassouvis, erreurs, blessures, etc., qui hantent toujours son inconscient.
Le libre arbitre : cela signifie qu'une âme, en début de parcours, décide pour moitié librement ce qu'elle fait sans aucune influence extérieure.
25%, 25%, 50%, telles sont les proportions de départ. Avec ses 50% de libre arbitre, un être peut ensuite modifier cette recette. Soit il peut s'affranchir de l'influence de son hérédité en se soustrayant très jeune à l'emprise de ses parents. Soit il peut s'affranchir de son karma en refusant de tenir compte de ses pulsions inconscientes. Ou, au contraire, il peut renoncer à son libre arbitre en acceptant de n'être que le jouet de ses parents et de son inconscient. 
Ainsi la boucle est bouclée. Paradoxe suprême, l'homme peut même avec son libre arbitre renoncer à... son libre arbitre."

Je crois que je vais m'arrêter là pour ce soir... je laisse tout ça croître... maturer...
On verra bien... ce que j'en tire demain.

 


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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 18:36


C'est pas tout a fait la même que dans le livre, soit verte à pois rouge, pourtant elle aussi s'appelle Nenette, elle aussi terrifie l'âne Gougou. Alors vous voudrez bien excuser notre cher poilu il est absent. En effet il a du se rendre à la chorale d'Erquinvillers pour chanter :


"TU ES TOUTE NUE ET JE SUIS A POIL.... lalalala"
(c'est lui qui l'a dit)

Qu'est ce qu'on fait pas écouter à nos enfants, 
hein les parents ?
Quel beau message, nus, face a face, confrontés à nos différences, nous ne sommes pas effrayés !


gren



gren


 


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16 novembre 2007 5 16 /11 /novembre /2007 22:17



 

cat


Regarde-toi dans une glace 
avant que toutes tes dents je fracasse !

Narcisse
Belle Phyllis 
Des yeux D.lice...
ils me ravissent...

m'enlève, m'emmène 
sur un autre archipel

Hum tu as mon aval
tu vois, TOUT, je déballe...
Tu peux me lire comme dans un livre ouvert
hein ? n'est-ce pas que c'est vrai ?
Et pourtant ... tu comprends rien !
Plaît-il ?
C'est normal
faut pas que tu t'emballes...
Je D.balle
Je joue à l'enfant...
au ballon...
aux bals...on dansent ? 
Je danse avec les mots,
ils ne m'en veulent pas...
je me fais la malle
sans mal
c'est toi que je blesse
ton sang froid...
Tu t'échauffes, je te réchauffe
bravo ...
tu vis...
grâce à moi
PASSION.

 


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14 novembre 2007 3 14 /11 /novembre /2007 07:06

 



touc


 

Je suis ta fille, je suis ta soeur, je suis ton amie, je suis une élève, je suis ta petite copine, je suis ton ex', je suis ta femme, je suis partie, je suis une âme, je suis là, je suis gentille, ou bien méchante, tout dépend de ce qui te chante, je suis ici, ou bien là bas, je suis idiote ou juste loufoque, je suis à la fac, je suis chez moi, je suis ton idée, je ne suis pas toi, je ne serais jamais ton frère, ton père, je suis une fille, une jeune-fille, une demoiselle. 
Je n'en suis pas là... j'en suis ici. Je suis le fil, je suis invisible, je  suis jolie, je suis laide, je suis sage, je suis sauvage. Je suis une image, je suis en mouvement. Je suis une menteuse, mais je suis honnête. Je suis un visage, un corps, un regard, je suis dans tes yeux, je suis un rêve, un cauchemard, je suis chiante, je suis absente, je suis présente, dans ton esprit, dans ta vie. Je suis dans tes bras, je suis endormie, je suis en train de vivre, je suis plus très bien, je suis en train de mourir, je ne suis plus rien....

Je suis tout ça, je suis comme tout le monde, et qui prétendra se connaître se trompera sur son être.

Je pense...

(dooooonc....??? TU SUIS, et c'est ce qui compte : )

 


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