19 mars 2009
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20:00
La Gibouille que vous voulez sur votre tapis de souris ?!
C'est very possible !
Eh même en puzzle !
Vive la production en série !!
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Gibouilles
14 mars 2009
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19:06
Pour passer le temps
Pour me dire que rien ne change
Pour un plaisir gourmand
Rendez-vous aux pays des anges
avec ce cheese cake à l'orange !
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D.gustée
12 mars 2009
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19:59
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D.dramatisée
8 mars 2009
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21:45
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Gibouilles
26 février 2009
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21:24
Cette pensée vide et abstraite qui loge au creux de mon ventre me rappelle souvent le chemin…
Sa rengaine me saoule de notes et de paroles insolubles. Incompréhensibles… Détachées comme sur une portée de musique, vide de sens avant d’être lu. Des signes comme des autres dont le code réside sur ta langue. Secret préservé de toute humanité. Secret indicible que tu ne peux pas révéler.
D.voilée. Je prend le large, au bord des rivages, je vois des lettres liées, attachées entres elles. intimement . Ce code là je le comprend, c’est le mien, il m’appartient.
Des lettres, des mots des phrases, des points en fin de ligne, des aposiopèses et des points sur les i, de l’hyperbate et des noms de maladie.
Je suis ces lignes vers le lointain inconnu. Je n’ai pas peur , la mer est calme aujourd’hui et les flots de paroles me portent.
Toute seule, toute nue, sur le dos… mais d’où me vient cette répulsion, ce dégout d’un souvenir lointain, amer au fond de la gorge…une couleuvre de plus ne fera que fortifier mon système immunitaire. Voguons sur la mer en quête de ce paysage calme et ferme qui m’attend à la fin du roman avec son point final, unique, beau et magistral.
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D.ambulante
23 février 2009
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19:38
Il était une fois...
....la mer
Un bateau,
Une femme,
Et une sirène...
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D.lire
17 février 2009
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20:16
On se souvient ....
On en parlait, on en rêvait, on en esperait plus tant .... et pourtant....
ELLES SONT LA !
Mes D.licieuses meringues au chocolat !! petites bouchées intensément chocolatées : 
Ou entremet marbré : 
A vous de choisir ,
A vous de D.guster !
;)
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D.gustée
13 février 2009
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20:22
Une horreur sans malheur,
sans visage, sans peur.
Dépourvue de toute saveur.
Une horreur qui peint des choses horribles. Ce qu'elle voit. Mais c'est ce qu'elle voit qui lui dit que c'est horrible.
Aucun sens. Ses peintures n'ont aucun sens.
Quelle expérience ! Quelle indécence mais quelle chance d'exposer ces monstres sanglants.
Ses entrailles dégoulinantes sur une toile de cuisine.
C'est répugnant.
Et ce reflet absent.
Ce miroir vide.
Transperce à nouveau tout ce qui aurait pu être beau...
Dégoutant.
Il est laid.
Il est seul, isolé dans ce cadre de bois à tenter de se mouvoir et d'émouvoir.
Il grimace devant sa glace qui ne le voit pas.
Et ce visage commence à pleuvoir des larmes.
Des larmes de bonheur qui ne se partagent pas...
Sans partage, il n'est pas.
Et ce sourire que tu vois n'est qu'un masque.
Un sourire sinueux qui n'a pas de sens, qui se tord de douleur pour dissimuler ce que ces courbes; voluptueuses serait un bien grand mot... trop grand pour y enfermer de si petit traits ; montre mais que tu ne vois pas, dans tes yeux froids.
Tout déchirer, tout détruire.
Si j'écoutais mon corps parler...
mais mon coeur crée et n'a toujours fais que créer, donner, distribuer.
Détruire il ne sait l'imaginer, le représenter et n'a même jamais essayé.
Enthousiaste, il aime à croire.
Il se plaît à espérer et se complaît à ne pas broyer du noir
Eh puis tant que j'ai ton amour, il parait que je continuerai...
Il me dit que suis forte, assez pour tout ces échecs qui se rient, qui se raillent.
D.rail
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Mise à nu
12 février 2009
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18:52
Voyage au coeur de l'histoire de Rome...
Enée, fils de Troie, a échappé au carnage qui a réduit sa ville en cendres. Vénus, sa mère lui a confié la mission d'aller sur des terres nouvelles fonder la nouvelle Troie. Pendant son voyage Enée fait une escale chez Didon, reine de Carthage, là :
C'est sympa, grand, cosy... Il crèche dans ce palais pendant bien cinq ans quand même, il profite bien, il est tranquille... Didon, évidement, tombe amoureuse de lui, lui il l'aime bien... mais sa maman, la grande déesse, vient lui remonter les bretelles car il a une mission et faudrait pas que cette gonzesse le freine dans sa quête... Donc fidèle à sa pietas il obéit à son devoir et s'en va sans dire au revoir... Oui parce qu'il à beau être un super héros de ouf il est trop lâche pour affronter le regard de son amante (Faut pas oublier que trop occupé à sauver son père et son fils de l'incendie de Troie il en avait oublier sa femme le bougre. Le fantôme de la belle et bonne revient pour le pardonner en plus, ben hé faudrait pas en plus qu'il culpabilise... Il ne fait que suivre un chemin tout tracé ! )
Il se barre donc avec tout son équipage, ça les a pas dérangés de skwater mais ils se cassent sans dire merci... Il y a des gens comme ça et ce ne sont pas tous des personnages de roman ! Il a quand même un mauvais pressentiment en voyant les flammes du bûcher où Didon est en train de brûler. En effet, après s'être poignardée dans le bide elle s'est jetée dans les flammes... pour être sûre.
Enée, lui, fait sa vie d'aventurier de son coté, jusqu'au jour où il doit descendre aux enfers où il recroisera Didon. Il apprend alors qu'elle s'est suicidée pour lui (franchement ça valait pas le coup). Elle ne lui donnera aucune explication et s'enfuira devant lui. Honteuse. Tu m'étonnes... c'est pas digne d'une reine ça ! Vive la communication les deux là !
Morale : Si les hommes sont des gros lâches, les nanas sont super chiantes et font tout le temps la gueule sans jamais dire pourquoi. C'est pas mieux !
Conclusion : C'est super chouette de voyager, on peut relier l'histoire à la littérature et c'est assez marrant !
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D.lire
9 février 2009
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11:06
Création gibouillesque, Gibouille tentaculaire, tentacule de poulpe, poulpe marin, marin des sous-bois, les sous bois d'Aulnay...
C'est à se tordre de rire, à s'y perdre joyeusement dans les couleurs de l'insomnie et dans les rêves d'enfant. GROS PLAN :
Voyage extraordinaire au coeur de la lumière.
Lumière que l'on ne rencontre que dans la semi-obscurité car l'éblouissement, le trop plein de lumière, nous empêche de la contempler.
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Gibouilles
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