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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 18:03

 J'étouffe,

je manque d'air,

je vomis ce que je respire.

Il y a quelque chose qui m'empoisonne.

Cette chose n'est pas loin,

elle est toute proche,

c'en est presque masochiste

tellement c'est proche.

Ca irrite mes poumons,

je l'ai casiment invité,

et j'ai tendu le baton pour me faire battre.

Mais c'en est fini.

 

Une fois la source toxique trouvée,

il s'agit de faire le ménage,

et même le grand ménage.

Il n'y a pas de saison pour ça.

 

Je ne vaux pas moins,

et je mérite mieux que ça.

 


 

http://loudianou.free.fr/10/animal/metal%20araign%e9e.JPG

 

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 19:26

LE HÉRON


   "Un jour sur ses longs pieds allait je ne sais où
   Le Héron au long bec emmanché d’un long cou.
              Il côtoyait une rivière.
   L’onde était transparente ainsi qu’aux plus beaux jours ;
   Ma commère la Carpe y faisait mille tours
              Avec le Brochet son compère.
   Le Héron en eût fait aisément son profit :
   Tous approchaient du bord, l’Oiseau n’avait qu’à prendre ;
              Mais il crut mieux faire d’attendre
              Qu’il eût un peu plus d’appétit.
   Il vivait de régime, et mangeait à ses heures.
   Après quelques moments l’appétit vint ; l’Oiseau
              S’approchant du bord vit sur l’eau
   Des Tanches qui sortaient du fond de ces demeures.
   Le mets ne lui plut pas ; il s’attendait à mieux,
              Et montrait un goût dédaigneux
              Comme le Rat du bon Horace.
   Moi des Tanches ? dit-il, moi Héron que je fasse
   Une si pauvre chère ? Et pour qui me prend-on ?
   La Tanche rebutée , il trouva du Goujon.
   Du Goujon ! c’est bien là le dîné d’un Héron !
   J’ouvrirais pour si peu le bec ! aux Dieux ne plaise !
   Il l’ouvrit pour bien moins : tout alla de façon
              Qu’il ne vit plus aucun Poisson.
   La faim le prit ; il fut tout heureux et tout aise
              De rencontrer un Limaçon.
              Ne soyons pas si difficiles :
   Les plus accommodants, ce sont les plus habiles :
   On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
            Gardez-vous de rien dédaigner ;
   Surtout quand vous avez à peu près votre compte.
   Bien des gens y sont pris ; ce n’est pas aux Hérons
   Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ;
   Vous verrez que chez vous j’ai puisé ces leçons."

 

LA FILLE


            " Certaine Fille, un peu trop fière 
            Prétendait trouver un mari 
   Jeune, bien fait, et beau, d'agréable manière , 
   Point froid et point jaloux ; notez ces deux points-ci. 
            Cette Fille voulait aussi 
            Qu'il eût du bien, de la naissance, 
   De l'esprit, enfin tout ; mais qui peut tout avoir ? 
   Le destin se montra soigneux de la pourvoir : 
            Il vint des partis d'importance.  
   La Belle les trouva trop chétifs de moitié : 
   Quoi moi ? quoi ces gens-là ? l'on radote, je pense. 
   A moi les proposer ! hélas ils font pitié . 
            Voyez un peu la belle espèce ! 
   L'un n'avait en l'esprit nulle délicatesse ; 
   L'autre avait le nez fait de cette façon-là ; 
            C'était ceci, c'était cela, 
            C'était tout ; car les précieuses 
            Font dessus tout les dédaigneuses. 
   Après les bons partis les médiocres gens 
            Vinrent se mettre sur les rangs. 
   Elle de se moquer.  Ah vraiment,  je suis bonne 
   De leur ouvrir la porte : ils pensent que je suis 
            Fort en peine de ma personne. 
            Grâce à Dieu je passe les nuits 
            Sans chagrin, quoique en solitude. 
   La Belle se sut gré de tous ces sentiments. 
   L'âge la fit déchoir ; adieu tous les amants. 
   Un an se passe et deux avec inquiétude. 
   Le chagrin vient ensuite : elle sent chaque jour 
   Déloger quelques Ris, quelques Jeux, puis l'Amour ; 
            Puis ses traits choquer et déplaire ; 
   Puis cent sortes de fards. Ses soins ne purent faire 
   Qu'elle échappât au Temps, cet insigne larron : 
            Les ruines d'une maison 
   Se peuvent réparer : que n'est cet avantage 
            Pour les ruines du visage ! 
   Sa préciosité changea lors de langage. 
   Son miroir lui disait : Prenez vite un mari. 
   Je ne sais quel désir le lui disait aussi ; 
   Le désir peut loger chez une précieuse. 
   Celle-ci fit un choix qu'on n'aurait jamais cru, 
   Se trouvant à la fin tout aise et tout heureuse 
           De rencontrer un malotru."

 

Jean de La Fontaine


http://loudianou.free.fr/10/dog/thoiry/h%c3%a9ron%20(1).JPG

 

 

http://loudianou.free.fr/10/dog/thoiry/h%c3%a9ron%20(2).JPG

 

http://loudianou.free.fr/10/dog/thoiry/h%c3%a9ron%20(3).JPG

 

 

Il y a des choses étranges, une  amie, une référence et ce marque page resté  à cet endroit comme s'il attendait la révélation...  Il y a des choses étranges que je ne peux réduire à de simples coïncidences.

 


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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 14:40


"L’artiste est un être qui fait le tour de sa liberté tout les matins ; par l’exercice quotidien de son art et donc poussé le plus loin possible, par la pratique de subjectivité, il a une expérience extrême et grisante de sa liberté. Mais comment connaître la liberté d’expression si l’on n’est pas libre d’agir, de dire ce que l’on pense , de faire ce que l’on veut, de ne rien faire ?

 

L’artiste est donc jaloux de son espace de liberté. Il est souvent marginalisé par l’usage qu’il en fait. C’est « la vie de bohême » qui est l’une des figures folkloriques mais souvent vraies de l’artiste pauvre, insouciant, fêtard.

 

La subjectivité, c’est aussi une responsabilité. Un être-humain qui se sent investi d’une mission qui le conduit à diffuser sa vision du monde, en toute autonomie, à modifier peut-être le point de vue de ses contemporains, à laisser sans doute une trace de son époque pour le futur, cet être est forcément inquiet. L’artiste doute, et c’est la deuxième figure traditionnelle de l’artiste : l’artiste anxieux, rongé par une quête infinie comme le Don Quichotte de Jacques Brel, cherchant « l’inaccessible étoile ». Il arrive que l’artiste boive, se drogue, devienne fou.

 

A coté de ces représentations communes, l’artiste est un créatif en attente d’une reconnaissance, non pas tant de son talent que de son rôle d’intermédiaire entre un domaine mystérieux, confinant au sacré, l’univers de la création, de la subjectivité absolue, et le commun des mortels. L’artiste souffre en général d’être un incompris. "


Voilà la définition de l'artiste que j'ai trouvé dans un livre. De façon très intelligente je n'ai pas noté ma source et comme ça fait un petit moment que ce texte traîne dans les fins fonds de mon disc dur je ne saurais en dire davantage. Quoi qu'il en soit il y a des passage assez humouristiques... je ne sais pas ce que vous en pensé. Le plus triste c'est qu'il y a du vrai là dedans !


Bon plus sérieusement voyons ce qu'en dit Guy Gofette dans Elle, par bonheur, et toujours nue. Ce livre est un régal. Littérature et peinture se mêle dans une oeuvre qui nous fait véritablement vivre la peinture sans tenter de la définir vainement. Voici quelques citations :

 

 

« ce qui m’attirait, dira-t-il plus tard, ce n’était pas tellement l’art mais la vie d’artiste avec tout ce qu’elle comportait dans mon idée de fantaisie, de libre disposition de soi-même. Certes depuis longtemps j’étais attiré par la peinture et le dessin, mais sans que ce fût une passion irrésistible ; tandis que je voulais échapper a tout prix a une vie monotone. »

« peintre vit d’abord de peinture et de solitude comme un poisson vit d’eau. »

« L'invraisemblable est souvent le vrai même. Cet homme là n'a pas les yeux faits comme tout le monde. »

« J'espère que ma peinture tiendra, sans craquelure, note-t-il en 1946. Je voudrais arrivé devant les jeunes peintres de l'an 2000 avec des ailes de papillons ».

« Il ne s'agit pas de peindre la vie. Il s'agit de rendre vivante la peinture. »

 

Et enfin :

 

« Il y a une formule qui convient parfaitement a la peinture, écrivait Bonnard : Beaucoup de petits mensonges pour une grande vérité. »

 

J'aime beaucoup cette dernière. Elle exprime la peinture mais aussi la vocation de toute oeuvre de fiction.

Pour finir, je parlerais de la femme artiste ou plutôt je citerais Simone de Beauvoir :

 

« Les artistes se soucient plus que quiconque de l’opinion d’autrui ; les femmes en dépendent étroitement : on conçoit quelle force est nécessaire à une femme artiste simplement pour oser passer outre ; souvent elle s’épuise dans cette lutte. »

 

Je sais ce qu'il me reste à faire alors souhaitez-moi bonne chance :) 

 

 

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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 19:38

Il était une fois...

....la mer



http://loudianou.free.fr/10/vac/TUNISIE/Sirene%20(1).jpg

Un bateau,


http://loudianou.free.fr/10/vac/TUNISIE/Sirene.jpg

Une femme, 



http://loudianou.free.fr/10/vac/TUNISIE/Sirene%20(2).jpg

Et une sirène...



http://loudianou.free.fr/10/vac/TUNISIE/Sirene%20(4).jpg



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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 18:52
Voyage au coeur de l'histoire de Rome...



Enée, fils de Troie, a échappé au carnage qui a réduit sa ville en cendres. Vénus, sa mère lui a confié la mission d'aller sur des terres nouvelles fonder la nouvelle Troie. Pendant son voyage Enée fait une escale chez Didon, reine de Carthage, là :


http://loudianou.free.fr/10/vac/TUNISIE/didon.jpg

C'est sympa, grand, cosy... Il crèche dans ce palais pendant bien cinq ans quand même, il profite bien, il est tranquille... Didon, évidement, tombe amoureuse de lui, lui il l'aime bien... mais sa maman, la grande déesse, vient lui remonter les bretelles car il a une mission et faudrait pas que cette gonzesse le freine dans sa quête... Donc fidèle à sa pietas il obéit à son devoir et s'en va sans dire au revoir... Oui parce qu'il à beau être un super héros de ouf il est trop lâche pour affronter le regard de son amante (Faut pas oublier que trop occupé à sauver son père et son fils de l'incendie de Troie il en avait oublier sa femme le bougre. Le fantôme de la belle et bonne revient pour le pardonner en plus, ben hé faudrait pas en plus qu'il culpabilise... Il ne fait que suivre un chemin tout tracé ! )

http://loudianou.free.fr/10/vac/TUNISIE/didon%20(1).jpg
Il se barre donc avec tout son équipage, ça les a pas dérangés de skwater mais ils se cassent sans dire merci... Il y a des gens comme ça et ce ne sont pas tous des personnages de roman ! Il a quand même un mauvais pressentiment en voyant les flammes du bûcher où Didon est en train de  brûler. En effet, après s'être poignardée dans le bide elle s'est jetée dans les flammes... pour être sûre.

Enée, lui, fait sa vie d'aventurier de son coté, jusqu'au jour où il doit descendre aux enfers où il recroisera Didon. Il apprend alors qu'elle s'est suicidée pour lui (franchement ça valait pas le coup). Elle ne lui donnera aucune explication et s'enfuira devant lui. Honteuse. Tu m'étonnes... c'est pas digne d'une reine ça ! Vive la communication les deux là !

Morale : Si les hommes sont des gros lâches, les nanas sont super chiantes et font tout le temps la gueule sans jamais dire pourquoi. C'est pas mieux !

Conclusion : C'est super chouette de voyager, on peut relier l'histoire à la littérature et c'est assez marrant !
 
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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 20:58

"Je tiens pas tellement à être heureux, je préfère encore la vie."



Momo, 10 ans, grande clairevoyance :
La Vie Devant Soi
Romain Gary.


http://loudianou.free.fr/10/gib/triangle/lumi.jpg


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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 16:54

 

 

http://loudianou.free.fr/10/nature/leau/0.jpg

 

Je travaille actuellement sur un ouvrage de Philippe Lejeune, le champion de l’autobiographie, Cher Ecran… ! Après Rousseau, lui et moi  nous intéressons à l’autobiographie sur internet via les journaux en ligne aussi appelés « blogs ».


Je  t’écris d’ailleurs, depuis ce type de supports, je devrais donc me sentir concernée bien que ça ne soit pas véritablement dans la même optique que les journaux dit « intimes » sur le net.


C’est intéressant, mais tellement touffus que je ne sais pas trop par où commencer et sous quel axe aborder l’ouvrage qui brasse énormément de raisonnements. Cet article va peut-être m’aider…


Pour l’instant je vais laisser la parole à la Libellule électrique que cite également Philippe Lejeune. J’aime ce qu’il dit. C’est beau et vrai, sans doute assez utopique, à toi de me dire : 


« Je ne pensais pas faire cette chronique trop perso, alors je m’en excuse, chers lecteurs et lectrices, j’en ai besoin, simplement parce que le monde va trop vite pour moi parfois et que j’ai arrêté de me censurer, ce que je faisais parfois. J’ai un super ami qui m’a dit : «  C’est bien mais je peux plus conseiller ton journal ». C’est vrai il me connaît, trop perso, oui, mais si dans la vie on arrêtait de se mentir et de dire seulement ce que l’on est, des êtres de passage, des êtres pleins, qui sont ce qu’ils sont, on a pas choisi, juste vivants et ça c’est beau, c’est ce que je fais aujourd’hui, demain sera différent, je redeviendrai une vraie Luciole mais une Luciole doit vivre vite pour ne pas mourir sans avoir au moins fait de sa vie quelque chose de beau. »

 

 

http://loudianou.free.fr/10/nature/leau/0%20(1).jpg

 

 

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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 17:04


Il y a des jours comme ça, où ça ne va pas, on est moche et tout le blabla mais rares sont ceux où on vous le fait remarquer et pire encore quand c’est votre miroir qui se met à parler. C’est cette histoire que je vais te raconter.

 


 

http://loudianou.free.fr/10/constant/REFLET.jpg

 

 


Je suis éternellement pas douée. Cette phrase que l’on entend et voit si souvent, aujourd’hui c’est moi qui l’emploierais. Il y a des jours comme ça, où il aurait mieux valu rester couché. Pour tout le monde, mais surtout pour soi. Pour, justement, éviter d’agresser ce monde là.

Je suis pas douée, on le sait déjà. Ca dure depuis toujours et c’est pas près de s’arrêter.

Je n’écoute jamais les bons conseils, que les mauvais !

Bref, ces jours dont je te parle sont ceux où s’exprime notre maladresse et notre laideur.

Je suis moche. C’est mon miroir qui l’a dit. Mais, je ne veux pas être belle, j’aimerais l’être sans le vouloir. Hé oui. QUOIII ?

 


http://loudianou.free.fr/10/constant/reflet%203.jpg

 

 


Assez d’être cette potiche maquillée et pas douée. Maquillée ? hum non, juste potiche et pas douée. J’en ai assez de coller à cette image de la femme telle que l’on voudrait qu’elle soit. ON ? Les hommes ça va de soi puisque c’est la femme qui est l’autre… évidemment… nous ne sommes que Le Deuxième Sexe, n’est-ce-pas Simone ?

Plaire ? Mais pourquoi faire ? Plaire à qui ? A ceux qui n’assument même pas ? Autant ne rien faire pour ceux-là. Autant tout faire rien que pour soi, comme je faisais déjà, mais voilà, ça ne marche même pas !


 

http://loudianou.free.fr/10/constant/REFLET2.jpg

Le syndrome de Narcisse se propage...



Bon sang, qu’est-ce-qui cloche aujourd’hui ? Je me suis perdue, non seulement à Villeneuve mais dans ma vie et en moi. Je ne suis vraiment pas douée pour les plans et mon orientation s’en ressent. N’aurais-je donc décidément rien pour moi ?



 

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11 octobre 2008 6 11 /10 /octobre /2008 17:24
L'objet présenté ci-dessous n'est pas une Barbie, mais une Momoko. C'est une poupée tout droit venue du Japon en passant par le Bronx New Yorkais, oh yeah.
Ce que j'oublais de vous dire, c'est qu'il s'agit de poupée de collection. C'est une vraie folie là bas. Les nanas, et les mecs, s'inventent tout plein de scénarios, d'ailleurs ça en a rendu dingue une bonne partie.
 Entièrement customisable, on en fait ce qu'on veut en laissant libre cours à son imagination. C'est d'ailleurs ce que fais ma soeur, dont les créations sont visibles ici.



Ne vous fiez pas à son regard d'ange.




http://loudianou.free.fr/10/momoko/IMGP0043.jpg
Yumi, peigne la girafe...



http://loudianou.free.fr/10/momoko/IMGP0290.jpghttp://loudianou.free.fr/10/momoko/IMGP1991.jpg

Yumi, la pauvre malheureuse porte de la haute couture faite maison (:p) en se prélassant sous le soleil des vacances...



http://loudianou.free.fr/10/momoko/IMGP0297.jpg
                                            Yumi  - vous l'aurez compris c'est elle-  est perdue dans la jungle bengalienne...




http://loudianou.free.fr/10/momoko/P6260010.jpghttp://loudianou.free.fr/10/momoko/P6260031.jpg

Yumi se la joue classe, mais en fait elle n'a pas d'argent et porte des emballages de chocolat comme vêtement...



http://loudianou.free.fr/10/momoko/P6270065.jpg
Fin tragique pour Yumi, et on s'y attendait, elle vend ses charmes et joue de son corps de poupée...
(héhé... Quoi ?! T'as pas compris ?)






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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 10:06


Je marchais dans ma bulle quand soudain devant moi se dressa, gigantesque, un X phénoménale.




or

Immense interdit, ultime limite, frontière infranchissable, rature au paradis de la liberté…

 



or

 

Je me suis faufilée entre ses grandes jambes rigides et je l’ai semé, trop loin pour qu’il puisse, pour le moment, me rattraper.  



or

J'ai glissé, vers les enfers...

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