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D.rangée

28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 10:40

 

 

 

 


Nos deux petits pandas de Beauval, même s'ils ne peuvent se reproduire que quelques jours par an, ont l'air heureux ainsi.

J'ai été ravie de faire leur connaissance, c'est quand même un évènement. Il faut protéger des créatures si fragiles.


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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 10:50

 

 

 

 

 

 

C'est quand quelque chose dont les regles sont établies et qu'on en vient à les interroger de nouveau suite à un disfonctionnement que la chose en question aurait pu encourir.

 

Après avoir définit ce terme. On peut dire que malgré toute la bonne volonté du monde, parfois la remise en question s'avère inutile lorsque l'on s'aperçoit que c'est autre chose qui provoque le malaise.

 

Conclusion : c'est bien de se remettre en question quand ce n'est pas hors sujet, afin d'établir de nouvelles règles. Quand ce n'est pas le cas : A QUOI BON FOUTRE LE BORDEL DANS SA TETE et tout remettre en question, c'est-à-dire foutre toutes les bases d'une stabilité par terre sinon à se rendre fou ?

 

Je vous le demande !

 

Nos amis les animaux (animus, l'âme quand même...) ne se posent pas autant de questions, et ils ont bien raison, ils vivent ainsi dans la simplicité d'un bonheur qui se restreint à nos simples besoins.

Je dis ça mais le lamentin, par exemple, ne se lamente-t-il pas ce qui lui a donné son nom ?

(Fascinante créature... Je les trouve merveilleuses)

 

 

 

A suivre notre nouvelle question : l'amour est-il un besoin ?

Qui est indubitablement suivi de : Qu'est-ce que l'amour ?

 

On médite , on médite, mais la méditation est-elle une remise en question ?

 

Je n'ai qu'une chose à dire : MERCI LES MECS !

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 16:25

 

 

 

 

 

 

je deviens une BEEEEEEEEEEEEEEEEEETE !

Et ces larmes de crocodile ne serviraient à rien :

Quand on est un homme on ne pleure pas.

Quand on est un homme on ne faiblit pas.

Quand on est un homme, on n'aime pas.

Quand on est un homme, un vrai, on ne doit pas être humain.

 

 

Voici , ce que nous disent les déshumanisations de Gibouille.

 

 

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 17:38

 

 

 

 

  http://loudianou.free.fr/10/animal/couple%20singe.jpg

 

Une envie prosaïque, une envie de dire des choses toute banales qu'elles sont, une envie d'écrire de la prose non poétique. Laisser les mots défiler entre mes lèvres lubriques, sans aucune fin esthétique.

J'ai une folle envie de vous dire des choses interdites. Ces choses dont le nom doit être tu. Ces secrets honteux que l'on cache dans le placard de notre chambre. On ne les sort que dans le noir, ces mots coquins , ces mots malsains. Ces mots punis par ceux qui n'y croient pas. Ces paroles punies par la loi. Ces mots bannis des langues qui ne se touchent pas. Ces langues prudes et absurdes qui ne savent pas la vérité. Qui ne savent pas aimer. Ces douceurs que l'on se donne. Ces cadeaux au quotidien que l'on distribue. Ces cadeaux qui ne coûte rien. Ces présents qui rendent plus présent notre précieux présent. Ces attentions qui sont de l'attention en concentré. Cette pureté immaculée de toutes vilaines pensées. Ces choses là, ces choses de joie dont on ne doit pas parler, surtout pas moi, vile obsédée . Des rêves, des passions ? Oui j'en avais , avant de les laisser de coté pour un vain espoir, celui d'être aimée d'un roi orgueuilleux, d'un toi présomptueux. Je vais les laisser vivre, et s'enfuir d'une cage, pas dorée. D'une cage simplement fermée. Tant pis pour l'amour, tant pis pour ces gestes que tu ne connais pas. Tant pis pour ces mots, sales et cochons, qui ne veulent rien dire pour toi. Ces trois mots là, sont bien plus jolis, bien plus réels , quand ils sont impolis et sont dits sous les draps. 

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 22:32

 

 

 

 

 

 

Hop voici ! Cela fait un moment qu'elle attendait cependant que je dormais. Elle s'impatientait. Sa flamme s'est un peu ternie et sa chaleur consumée, je peux donc vous la montrer sans craindre de nous brûler !! 

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 22:00

 

 

 

 

 

 

Comme une grande je me maquille

Comme une grande, j'enfile mon masque de couleurs pour cacher mon humeur, pour dissimuler mon âge.

Comme une grande je met de hauts talons et de courtes jupes.

Comme une grande je joue à l'épouse modèle.

Comme une grande j'ai trouvé un travail.

Comme une grande j'ai trouvé un appart.

Comme une grande je fais le ménage, la vaisselle, le repassage....

Comme une grande je joue à la maitresse.

Comme une grande je passe mon temps à me dissimuler.

Comme une grande je me comporte comme il faut.

Comme une grande je fais semblant.

Comme une grande je joue à la grande, plus grande encore.

Comme une enfant je joue à la grande.

J'en ai assez de ce jeu là.

De ces faux semblants et de ces sourires faux.


Comme une grande je cherche la vérité,

Comme une grande je cherche la liberté.

Comme une grande je voudrais choisir et décider.Assumer mes choix.

Mais je suis petite, trop petite et je préfère encore jouer que d'admettre cette vérité : grande , je ne le serais peut-être jamais.

 

Mais comment se mesure-t-elle cette grandeure ?

Nous portons tous nos masques et nos déguisements.

Nous ne cachons pas tous la même chose, mais nous cachons.

Et c'est le jeu, ce jeu d'adulte, ce jeu de grand, pas drôle du tout.

Je préfère encore mes jeux d'enfants.

 

Voici mon déguisement préféré : Un habit de lumière entouré de projecteur. Un vêtement de beauté qui cache et dévoile. Un habit créatif et récréatif.

 

  http://gibouille-modele.photoviews.net/uploads/photo/modeles/4271_2061_1346348645.jpg

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 16:05

 

 

 

Nous ne sommes pas formés avant d'exercer un métier où l'on doit affronter en même temps que nos collègues, les usagers et leurs parents.


Nous sommes fainéants

 

Nous sommes ridicul(isés) et décridibilisés.

 

Nous avons le droit d'obéir.

 

Nous avons le droit de nous taire (nous aussi).

 

Nous sommes de moins en moins nombreux, mais on nous en démande de plus en plus (sans gagner plus)...

 

Quand notre journée est finie au boulot, elle continue à la maison.


Nous pourrions faire un métier agréable mais on préfère industrialiser ce que l'on fait et se tirer dans les jambes.

 

Qui sommes nous ? ( A part de gros crétins qui faisons face à d'énormes débiles)


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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 15:22

Quelle est cette ombre qui me hante,

qui prend toutes les formes que l'on peut voir autour de moi.

 

Elle prend la forme , de mes amis, d'inconnus, de personnes, d'animaux, d'objets.

Elle est là derrière moi.

Elle bouge et grandi en même temps que moi ,

mais pas à ma mesure.

Me suis pas à pas,

mais bientôt devant moi.

C'est mon environnement qui devient noir.

Tout s'assombrit.

Mon imagination prendrait-elle le pas sur ma réalité ?

Mon ombre, Ses branches , ses racines me portent.

Mes racines me transportent dans une mémoire qui n'est pas la mienne.

C'est mon arbre, celui de ma soeur, de ma mère, de mon père. Celui de mère-grand et de papi.

Que veut-il me dire ? Que veut-il me montrer ?

Vers quoi  m'emporte-t-il ? Vers quoi ? Vers Qui ?

Tout n'est que silouhette, je ne distingue plus les visages.

Nous sommes tous cette personne. Cet inconnu si familier que je n'arrive pas à idenTIFier.

 

 http://loudianou.free.fr/10/arbre/TIFarbre-copie.jpg

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 14:58

http://loudianou.free.fr/10/vac/bruxelles/chut.jpg 

, faites silence ou faites taire les oiseaux. Du moins les vautours.


Un homme qui tire plus vite que son ombre

 http://loudianou.free.fr/10/vac/bruxelles/ombre%20(2).jpg

http://loudianou.free.fr/10/vac/bruxelles/ombre%20(1).jpg

Destabilisant...

 

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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 21:45

 

 

 

 

 

 

Les liens qui nous unissent les uns les autres tissaient autrefois une famille. Petite ou grande. Notre famille est celle dont les liens ne flottent pas à droite ou à gauche. Ils sont bien ancrés d'un bout à l'autre. On peut tirer dessus, on s'entraine ensembles. On s'entraide, on est ensemble.

Ils ne peuvent pas se romprent, ils ne peuvent que s'étirer.

 

Mais aujourd'hui les liens qui nous unissent ne sont fixés à rien. Alors certes ils sont élastiques. On peut tirer, on ne sent pas la différence. Ils ne forment plus ce beau tapis ancestrale mais plutôt une toile virtuelle. Les liens de notre famille sont des informations virtuelles et nourissent les réseaux sociaux. WHOAAA ! Quel progrès !


On ne se parle plus. Mais tout le monde sait qu'on est cousine, nièce ou je ne sais quoi. On peut y mettre les mots que l'on veut, ils ne veulent plus rien dire . Notre arbre généalogique, éparpillé à droite, à gauche, n'est plus bon qu'à faire du petit bois pour l'hiver.

 

Notre mémoire se casse et nos souvenirs se font la malle.

Tout ce qu'on a partagé s'efface et laisse la place à des petites rancunes mal placées.

 

Les liens de notre famille ne forment plus qu'un napperon éffiloché qui ne cesse de s'étirer pendant que sa mémoire se tire en attendant que l'on fasse de même.

 

 

Les liens que vous avez tissés pendouillent lamentablement, au bout rien... et après rien... rien qu'une ficelle même pas assez bonne pour se pendre.

 

Vive internet, vive les télécommunications.

Ce n'est pas de leur faute, mais elles sont les complices de cette hypocrisie sociale que je ne peux plus tolérer au sein de mon coeur dont les valeurs s'effritent petit à petit.

 

ça fait peur.

 

http://soofette.free.fr/2012/flyballon.jpg

Montage by Soof

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